La Commodity Futures Trading Commission (CFTC) a intenté une action civile contre des individus et des entités associés à Cryptobravos. Il les accuse de fraude massive.
La CFTC allègue que les accusés ont frauduleusem*nt sollicité et détourné des dizaines de millions de dollars auprès de centaines de personnes dans le monde, y compris aux États-Unis, sous divers pseudonymes commerciaux.
La CFTC a déposé la plainte auprès du tribunal de district américain du district du New Jersey. Il identifie les accusés comme Or Patreanu d’Israël, Snir Hananya d’Italie, Elijah Samson d’Allemagne, Artem Prokopenko d’Ukraine et Expected Value Plus Ltd., une société seychelloise, opérant tous collectivement sous le nom de Cryptobravos.
Les entités accusées sont également connues sous plusieurs autres noms commerciaux, notamment Trade2Get, Coinbull, Cryptonxt, Tradenix, Cryptobravos, Nittrex, Pinance et Wobit.
La CFTC allègue qu’entre janvier 2017 et octobre 2021 environ, les accusés ont orchestré un stratagème frauduleux mondial avec des opérations en Israël, en Ukraine, en Albanie, en Afrique du Sud et dans d’autres pays.
Leur mode de fonctionnement consistait à solliciter des bitcoins et d’autres fonds auprès de particuliers, avec un accent particulier sur les clients américains. Les fonds étaient destinés à la création de comptes gérés pour se lancer dans le commerce de produits d’actifs numériques, principalement le Bitcoin.
La CFTC demande justice: restitution et sanctions dans l’affaire Cryptobravos
Les agents Cryptobravos ont faussem*nt représenté plusieurs points clés aux investisseurs potentiels. Il comprenait des promesses selon lesquelles les fonds des clients seraient utilisés pour des activités de trading, des garanties de rendements sans risque et affirmait que les clients pouvaient retirer leurs fonds à tout moment. Cependant, la CFTC affirme que ces représentations n’étaient que des tactiques trompeuses.
En réalité, les défendeurs ne se sont livrés à aucune activité commerciale impliquant du Bitcoin ou d’autres actifs numériques pour leurs clients. La CFTC affirme n’avoir jamais tenu les promesses de rendement. Au lieu de cela, ils ont conservé les fonds des clients.
Dans de nombreux cas, les clients ont été encouragés à retirer des fonds de leurs comptes de retraite ou à contracter des emprunts pour effectuer des dépôts supplémentaires ou payer des taxes ou commissions inexistantes. La plupart des clients qui ont déposé de l’argent auprès de Cryptobravos n’ont pas vu leurs fonds restitués.
En réponse à ces allégations, la CFTC sollicite diverses formes de réparation. Il comprend la restitution des victimes, la restitution des gains mal acquis, des sanctions civiles pécuniaires, des interdictions permanentes de commerce et d’enregistrement pour les accusés, ainsi qu’une injonction permanente contre toute nouvelle violation du droit des marchandises.
Échange
Échange
Une bourse est connue comme un marché qui prend en charge la négociation de produits dérivés, de matières premières, de titres et d’autres instruments financiers. Généralement, une bourse est accessible via une plateforme numérique ou parfois à une adresse tangible où les investisseurs s’organisent pour effectuer des transactions. L’une des principales responsabilités d’une bourse serait de maintenir des pratiques commerciales honnêtes et équitables. Ceux-ci jouent un rôle déterminant pour garantir que la répartition des taux de sécurité pris en charge sur cette bourse est efficace.
Une bourse est connue comme un marché qui prend en charge la négociation de produits dérivés, de matières premières, de titres et d’autres instruments financiers. Généralement, une bourse est accessible via une plateforme numérique ou parfois à une adresse tangible où les investisseurs s’organisent pour effectuer des transactions. L’une des principales responsabilités d’une bourse serait de maintenir des pratiques commerciales honnêtes et équitables. Ceux-ci jouent un rôle déterminant pour garantir que la répartition des taux de sécurité pris en charge sur cette bourse est efficace.
Lire ce terme (CEA) et réglementation CFTC.
Collaboration internationale: les agences s’unissent pour lutter contre la fraude aux cryptomonnaies
Ian McGinley, directeur de l’application de la loi au CFTC
CFTC
Aux États-Unis, le Commodity Exchange Act (CEA) de 1974 a créé la Commodity Futures Trading Commission (CFTC). La Commission protège et réglemente les activités de marché contre les manipulations, les fraudes et les pratiques commerciales abusives et promeut l’équité des contrats à terme. Le CEA comprenait également l’accord Sad-Johnson, qui définissait l’autorité et les responsabilités en matière de surveillance des contrats financiers entre la Commodity Futures Trading Commission et la Securities and Exchange Commission.
Aux États-Unis, le Commodity Exchange Act (CEA) de 1974 a créé la Commodity Futures Trading Commission (CFTC). La Commission protège et réglemente les activités de marché contre les manipulations, les fraudes et les pratiques commerciales abusives et promeut l’équité des contrats à terme. Le CEA comprenait également l’accord Sad-Johnson, qui définissait l’autorité et les responsabilités en matière de surveillance des contrats financiers entre la Commodity Futures Trading Commission et la Securities and Exchange Commission.
Lire ce termea souligné la coopération internationale impliquée dans cette affaire, déclarant : « Cette affaire est un triomphe de la coopération internationale. La liste des agences qui ont aidé l’enquête de la Division de l’exécution montre clairement aux fraudeurs de nos marchés que nous les poursuivrons où qu’ils se trouvent. «.
La CFTC reconnaît l’aide de plusieurs agences du monde entier dans son enquête, notamment la Commission des valeurs mobilières de l’Alabama, l’Autorité albanaise de surveillance financière, la Commission des valeurs mobilières de la Colombie-Britannique, la Commission de surveillance financière de Bulgarie, la Commission des valeurs mobilières de Chypre, la Banque nationale tchèque, la Commission des valeurs mobilières et des contrats à terme de Hong Kong, Banque centrale de Hongrie, Israel Securities Authority, Liechtenstein Financial Market Authority et Commission des valeurs mobilières de l’Ontario.
La Division de l’application de la loi de la CFTC dirige l’affaire, avec Michael Cazakoff, Jack Murphy, K. Brent Tomer, Lenel Hickson Jr. et Manal M. Sultan parmi le personnel responsable de l’accusation. Jennifer Diamond, du Bureau de l’avocat en chef de la Division de l’application de la loi, a également apporté une aide précieuse à l’enquête.
La Commodity Futures Trading Commission (CFTC) a intenté une action civile contre des individus et des entités associés à Cryptobravos. Il les accuse de fraude massive.
La CFTC allègue que les accusés ont frauduleusem*nt sollicité et détourné des dizaines de millions de dollars auprès de centaines de personnes dans le monde, y compris aux États-Unis, sous divers pseudonymes commerciaux.
La CFTC a déposé la plainte auprès du tribunal de district américain du district du New Jersey. Il identifie les accusés comme Or Patreanu d’Israël, Snir Hananya d’Italie, Elijah Samson d’Allemagne, Artem Prokopenko d’Ukraine et Expected Value Plus Ltd., une société seychelloise, opérant tous collectivement sous le nom de Cryptobravos.
Les entités accusées sont également connues sous plusieurs autres noms commerciaux, notamment Trade2Get, Coinbull, Cryptonxt, Tradenix, Cryptobravos, Nittrex, Pinance et Wobit.
La CFTC allègue qu’entre janvier 2017 et octobre 2021 environ, les accusés ont orchestré un stratagème frauduleux mondial avec des opérations en Israël, en Ukraine, en Albanie, en Afrique du Sud et dans d’autres pays.
Leur mode de fonctionnement consistait à solliciter des bitcoins et d’autres fonds auprès de particuliers, avec un accent particulier sur les clients américains. Les fonds étaient destinés à la création de comptes gérés pour se lancer dans le commerce de produits d’actifs numériques, principalement le Bitcoin.
La CFTC demande justice: restitution et sanctions dans l’affaire Cryptobravos
Les agents Cryptobravos ont faussem*nt représenté plusieurs points clés aux investisseurs potentiels. Il comprenait des promesses selon lesquelles les fonds des clients seraient utilisés pour des activités de trading, des garanties de rendements sans risque et affirmait que les clients pouvaient retirer leurs fonds à tout moment. Cependant, la CFTC affirme que ces représentations n’étaient que des tactiques trompeuses.
En réalité, les défendeurs ne se sont livrés à aucune activité commerciale impliquant du Bitcoin ou d’autres actifs numériques pour leurs clients. La CFTC affirme n’avoir jamais tenu les promesses de rendement. Au lieu de cela, ils ont conservé les fonds des clients.
Dans de nombreux cas, les clients ont été encouragés à retirer des fonds de leurs comptes de retraite ou à contracter des emprunts pour effectuer des dépôts supplémentaires ou payer des taxes ou commissions inexistantes. La plupart des clients qui ont déposé de l’argent auprès de Cryptobravos n’ont pas vu leurs fonds restitués.
En réponse à ces allégations, la CFTC sollicite diverses formes de réparation. Il comprend la restitution des victimes, la restitution des gains mal acquis, des sanctions civiles pécuniaires, des interdictions permanentes de commerce et d’enregistrement pour les accusés, ainsi qu’une injonction permanente contre toute nouvelle violation du droit des marchandises.
Échange
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Une bourse est connue comme un marché qui prend en charge la négociation de produits dérivés, de matières premières, de titres et d’autres instruments financiers. Généralement, une bourse est accessible via une plateforme numérique ou parfois à une adresse tangible où les investisseurs s’organisent pour effectuer des transactions. L’une des principales responsabilités d’une bourse serait de maintenir des pratiques commerciales honnêtes et équitables. Ceux-ci jouent un rôle déterminant pour garantir que la répartition des taux de sécurité pris en charge sur cette bourse est efficace.
Une bourse est connue comme un marché qui prend en charge la négociation de produits dérivés, de matières premières, de titres et d’autres instruments financiers. Généralement, une bourse est accessible via une plateforme numérique ou parfois à une adresse tangible où les investisseurs s’organisent pour effectuer des transactions. L’une des principales responsabilités d’une bourse serait de maintenir des pratiques commerciales honnêtes et équitables. Ceux-ci jouent un rôle déterminant pour garantir que la répartition des taux de sécurité pris en charge sur cette bourse est efficace.
Lire ce terme (CEA) et réglementation CFTC.
Collaboration internationale: les agences s’unissent pour lutter contre la fraude aux cryptomonnaies
Ian McGinley, directeur de l’application de la loi au CFTC
CFTC
Aux États-Unis, le Commodity Exchange Act (CEA) de 1974 a créé la Commodity Futures Trading Commission (CFTC). La Commission protège et réglemente les activités de marché contre les manipulations, les fraudes et les pratiques commerciales abusives et promeut l’équité des contrats à terme. Le CEA comprenait également l’accord Sad-Johnson, qui définissait l’autorité et les responsabilités en matière de surveillance des contrats financiers entre la Commodity Futures Trading Commission et la Securities and Exchange Commission.
Aux États-Unis, le Commodity Exchange Act (CEA) de 1974 a créé la Commodity Futures Trading Commission (CFTC). La Commission protège et réglemente les activités de marché contre les manipulations, les fraudes et les pratiques commerciales abusives et promeut l’équité des contrats à terme. Le CEA comprenait également l’accord Sad-Johnson, qui définissait l’autorité et les responsabilités en matière de surveillance des contrats financiers entre la Commodity Futures Trading Commission et la Securities and Exchange Commission.
Lire ce termea souligné la coopération internationale impliquée dans cette affaire, déclarant : « Cette affaire est un triomphe de la coopération internationale. La liste des agences qui ont aidé l’enquête de la Division de l’exécution montre clairement aux fraudeurs de nos marchés que nous les poursuivrons où qu’ils se trouvent. «.
La CFTC reconnaît l’aide de plusieurs agences du monde entier dans son enquête, notamment la Commission des valeurs mobilières de l’Alabama, l’Autorité albanaise de surveillance financière, la Commission des valeurs mobilières de la Colombie-Britannique, la Commission de surveillance financière de Bulgarie, la Commission des valeurs mobilières de Chypre, la Banque nationale tchèque, la Commission des valeurs mobilières et des contrats à terme de Hong Kong, Banque centrale de Hongrie, Israel Securities Authority, Liechtenstein Financial Market Authority et Commission des valeurs mobilières de l’Ontario.
La Division de l’application de la loi de la CFTC dirige l’affaire, avec Michael Cazakoff, Jack Murphy, K. Brent Tomer, Lenel Hickson Jr. et Manal M. Sultan parmi le personnel responsable de l’accusation. Jennifer Diamond, du Bureau de l’avocat en chef de la Division de l’application de la loi, a également apporté une aide précieuse à l’enquête.
